Dans les thèmes proposés au débat, un grand absent : la Culture.
Et pourtant, elle est ce qui lie les français. Les attentats du Bataclan, tout un symbole de l'attaque de ce qui réunit. L'incendie de Notre-Dame : au-delà des religions, au delà de son histoire individuelle, une émotion commune a surgit face à ces 1.000 ans d'Histoire, d'hommes morts en la batissant, de souvenirs individuels face à cette architecture hors-norme.
Pendant le confinement encore. Le s films, les livres, la radio, la musique étaient l’échappatoire de tou-te-s. A la reprise de l'activité, les cinémas et les spectacles vivants (festivals, concerts...) sont ce qui est le plus attendus par les habitants.
La culture est à mon sens un outil indispensable de la cohésion d'un programme politique de gauche. Une culture qui qui valorise la diversité artistique, la diversité culturelle, la diversité esthétique. Une culture qui est en dehors de la seule économie de marché. Bien au delà de l'économique, le spectacle vivant permet à des centaines, des milliers, des dizaines de milliers de gens de partager ensemble un moment ephémère.
Quels sont les souvenirs les plus marquants des gens ? Leur(s) enfant(s), leur(s) recontre(s) et leurs spectacles. Celui qui a assisté à un concert de Renaud dans les années 80, de NTM dans les années 90, de Pink Floyd, des Who, d'un opéra, d'un spectacle au détour d'une rue, des émotions sous un chapiteau...
Le cinéma est un marqueur de cohésion sociale. Du Pere Noel est une ordure aux films de Marcel Carné, Truffaut ou Blier.
Travailler sur le monde d'Après doit prendre en compte cet aspect culturel. C'est un outil d'aménagement du territoire : des chapiteaux qui peuvent amener des salles de spectacle au plus près des populations, en zone rurale ou péri-urbaine ; aux lieux intermédiaires qui permettent de décloisonner la ville et d'être un moteur de la vie associative de quartier (les lieux intermédiaires culturels sont bien souvent également le lieu de l'AMAP, le lieu de réparation solidaire de vélos ou de materiels, le lieu de rassemblement des assos...). C'est un outil de cohésion sociale : mélanger les 'bobos' et les 'prolos' est une des richesses de la culture. C'est le lieu du vivre ensemble : au lieu d'être seul chez soi devant un tv, c'est le partage d'émotions ensemble pour un moment éphémère unique.
Portons un projet culturel ambitieux et rénové !
Et pourtant, elle est ce qui lie les français. Les attentats du Bataclan, tout un symbole de l'attaque de ce qui réunit. L'incendie de Notre-Dame : au-delà des religions, au delà de son histoire individuelle, une émotion commune a surgit face à ces 1.000 ans d'Histoire, d'hommes morts en la batissant, de souvenirs individuels face à cette architecture hors-norme.
Pendant le confinement encore. Le s films, les livres, la radio, la musique étaient l’échappatoire de tou-te-s. A la reprise de l'activité, les cinémas et les spectacles vivants (festivals, concerts...) sont ce qui est le plus attendus par les habitants.
La culture est à mon sens un outil indispensable de la cohésion d'un programme politique de gauche. Une culture qui qui valorise la diversité artistique, la diversité culturelle, la diversité esthétique. Une culture qui est en dehors de la seule économie de marché. Bien au delà de l'économique, le spectacle vivant permet à des centaines, des milliers, des dizaines de milliers de gens de partager ensemble un moment ephémère.
Quels sont les souvenirs les plus marquants des gens ? Leur(s) enfant(s), leur(s) recontre(s) et leurs spectacles. Celui qui a assisté à un concert de Renaud dans les années 80, de NTM dans les années 90, de Pink Floyd, des Who, d'un opéra, d'un spectacle au détour d'une rue, des émotions sous un chapiteau...
Le cinéma est un marqueur de cohésion sociale. Du Pere Noel est une ordure aux films de Marcel Carné, Truffaut ou Blier.
Travailler sur le monde d'Après doit prendre en compte cet aspect culturel. C'est un outil d'aménagement du territoire : des chapiteaux qui peuvent amener des salles de spectacle au plus près des populations, en zone rurale ou péri-urbaine ; aux lieux intermédiaires qui permettent de décloisonner la ville et d'être un moteur de la vie associative de quartier (les lieux intermédiaires culturels sont bien souvent également le lieu de l'AMAP, le lieu de réparation solidaire de vélos ou de materiels, le lieu de rassemblement des assos...). C'est un outil de cohésion sociale : mélanger les 'bobos' et les 'prolos' est une des richesses de la culture. C'est le lieu du vivre ensemble : au lieu d'être seul chez soi devant un tv, c'est le partage d'émotions ensemble pour un moment éphémère unique.
Portons un projet culturel ambitieux et rénové !