La crise sanitaire semble être une opportunité pour le gouvernement de promouvoir encore sa politique néo-libérale.
Afin de "faire sortir au plus vite la France de la croissance négative à laquelle nous devons faire face", les députés LREM et le gouvernement lancent des signaux vers le MEDEF pour répondre à leurs attentes.
La sortie progressive de confinement semble devoir s'accompagner d'un nouvel abandon de nos conquis sociaux.
L'allocution de ce soir, nous mettra en avant encore les vieux poncifs libéraux sur les 35 heures, les congés payés, les limitations des cycles horaires ...
Il nous lancera encore un discours churchillien sans doute mais aussi aux accents thatchériens : "There Is No Alternative".
Il nous incitera, une nouvelle fois à nous sacrifier pour sauvegarder les intérêts des actionnaires, ou d'un état exsangue à force de baisse des impôts (comme l'ISF).
Nous ne pouvons accepter sans combattre ces attaques en règle du modèle sociale Français.
Faudrait-il se dire que les sacrifices des générations passées, la force créatrice du conseil national de la résistance, les combats menés années après années par les salariés dans les entreprises, se dire que tout cela n'a pas de valeurs et qu'au nom d'une gestion hasardeuse par un gouvernement incompétent, nous devrions maintenant tout sacrifier au nom de la croissance financière ?
Le débat :
- Devons-nous nous élever contre les propositions de destruction du modèle social ou, au non du "pacte républicain", nous taire et attendre des temps meilleurs ?
- Quels outils pouvons-nous mettre en oeuvre afin de lutter dans le circonstances actuelles contre ces menaces ?
Merci de vos réactions et propositions !
Afin de "faire sortir au plus vite la France de la croissance négative à laquelle nous devons faire face", les députés LREM et le gouvernement lancent des signaux vers le MEDEF pour répondre à leurs attentes.
La sortie progressive de confinement semble devoir s'accompagner d'un nouvel abandon de nos conquis sociaux.
L'allocution de ce soir, nous mettra en avant encore les vieux poncifs libéraux sur les 35 heures, les congés payés, les limitations des cycles horaires ...
Il nous lancera encore un discours churchillien sans doute mais aussi aux accents thatchériens : "There Is No Alternative".
Il nous incitera, une nouvelle fois à nous sacrifier pour sauvegarder les intérêts des actionnaires, ou d'un état exsangue à force de baisse des impôts (comme l'ISF).
Nous ne pouvons accepter sans combattre ces attaques en règle du modèle sociale Français.
Faudrait-il se dire que les sacrifices des générations passées, la force créatrice du conseil national de la résistance, les combats menés années après années par les salariés dans les entreprises, se dire que tout cela n'a pas de valeurs et qu'au nom d'une gestion hasardeuse par un gouvernement incompétent, nous devrions maintenant tout sacrifier au nom de la croissance financière ?
Le débat :
- Devons-nous nous élever contre les propositions de destruction du modèle social ou, au non du "pacte républicain", nous taire et attendre des temps meilleurs ?
- Quels outils pouvons-nous mettre en oeuvre afin de lutter dans le circonstances actuelles contre ces menaces ?
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