Notre santé et celle de nos enfants tient en grande partie à la qualité de notre environnement. Nous voulons que nos villes et nos campagnes soient des espaces où il fait bien vivre, où la vie et la nature sont préservées, où la vie compte plus que toute autre considération.
Malgré le troisième plan national santé environnement (PNSE) 2015-2019 qui témoignait de la « volonté » du gouvernement de réduire « autant que possible et de façon la plus efficace » les impacts des facteurs environnementaux sur la santé afin de permettre à chacun de vivre dans un « environnement favorable à la santé », la pollution de l’air, essentiellement générées par les trafics routier, aérien et maritime, est à l’origine d’au moins 48000 décès annuels.
Le droit à la santé et à un environnement sain, accessible à tous et partout en France est un droit fondamental et doit conditionner toute politique dans quelque domaine que ce soit et être inscrit dans nos lois. Seule la définition, la protection et la régénération de nos biens communs que sont l’eau, l’air, les sols, la biodiversité, l’information, nous permettons d’assurer la santé de nos enfants, de nos parents, de nos concitoyens. Pour ce faire, nous voulons :
• Réduire la pollution de l’air, en renouvelants nos modes de chauffage et de transport
• Relocaliser les productions pour supprimer les transports inutiles ;
• Investir massivement pour remplacer les centrales à charbon, les vieux chauffages, les navires au fioul lourd, et les véhicules polluants par des sources d’énergie renouvelable non polluante ;
• Développer les véhicules sans émissions de GES ;
Plus généralement, faire évoluer notre système de mobilités, pour passer des voitures individuelles aux vélos et aux transports en commun, notamment en remettant en fonction les petites lignes de train rurales.
• Restaurer la qualité de nos sols et de notre eau :
• Interdire les pesticides, herbicides et fongicides les plus néfastes pour l’environnement et notre santé ;
• Sanctionner plus durement les pollueurs.
• Donner aux consommateurs-citoyens l’information dont ils ont besoin :
• Imposer un étiquetage SIMPLE informant le consommateur sur l’utilisation de pesticides ou d’additifs dans l’élaboration de tout aliment ou produit manufacturé.
• Former les enfants dès le plus jeune âge aux principes de la santé environnementale et à une consommation éclairée, saine, équilibrée, dépourvue de pollutions inconnues.
• Rendre publique les études utilisées pour évaluer les risques afin de pouvoir vérifier qu’elles n’ont pas été corrompues par des lobbys industriels.
• Mettre en place un système indépendant qui identifie et exclut toute substance dangereuse de notre cadre de vie, au premier rang desquels les perturbateurs endocriniens, de nos productions et de nos importations.
Malgré le troisième plan national santé environnement (PNSE) 2015-2019 qui témoignait de la « volonté » du gouvernement de réduire « autant que possible et de façon la plus efficace » les impacts des facteurs environnementaux sur la santé afin de permettre à chacun de vivre dans un « environnement favorable à la santé », la pollution de l’air, essentiellement générées par les trafics routier, aérien et maritime, est à l’origine d’au moins 48000 décès annuels.
Le droit à la santé et à un environnement sain, accessible à tous et partout en France est un droit fondamental et doit conditionner toute politique dans quelque domaine que ce soit et être inscrit dans nos lois. Seule la définition, la protection et la régénération de nos biens communs que sont l’eau, l’air, les sols, la biodiversité, l’information, nous permettons d’assurer la santé de nos enfants, de nos parents, de nos concitoyens. Pour ce faire, nous voulons :
• Réduire la pollution de l’air, en renouvelants nos modes de chauffage et de transport
• Relocaliser les productions pour supprimer les transports inutiles ;
• Investir massivement pour remplacer les centrales à charbon, les vieux chauffages, les navires au fioul lourd, et les véhicules polluants par des sources d’énergie renouvelable non polluante ;
• Développer les véhicules sans émissions de GES ;
Plus généralement, faire évoluer notre système de mobilités, pour passer des voitures individuelles aux vélos et aux transports en commun, notamment en remettant en fonction les petites lignes de train rurales.
• Restaurer la qualité de nos sols et de notre eau :
• Interdire les pesticides, herbicides et fongicides les plus néfastes pour l’environnement et notre santé ;
• Sanctionner plus durement les pollueurs.
• Donner aux consommateurs-citoyens l’information dont ils ont besoin :
• Imposer un étiquetage SIMPLE informant le consommateur sur l’utilisation de pesticides ou d’additifs dans l’élaboration de tout aliment ou produit manufacturé.
• Former les enfants dès le plus jeune âge aux principes de la santé environnementale et à une consommation éclairée, saine, équilibrée, dépourvue de pollutions inconnues.
• Rendre publique les études utilisées pour évaluer les risques afin de pouvoir vérifier qu’elles n’ont pas été corrompues par des lobbys industriels.
• Mettre en place un système indépendant qui identifie et exclut toute substance dangereuse de notre cadre de vie, au premier rang desquels les perturbateurs endocriniens, de nos productions et de nos importations.