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  mercredi 24 juillet 2019
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Mettre en place une stratégie de division au moins par 2, d’ici 2030, de l’artificialisation annuelle moyenne des sols agricoles et naturels observés depuis 20 ans, à décliner dans les différents documents d’urbanisme à réviser (SCoT, PLU, PLUi).

Pour y parvenir, l’ouverture à l'urbanisation d’un terrain ne sera autorisée qu’après l’épuisement de l’ensemble des alternatives existantes pour la création de logements, d’activités ou d’équipements, au sein de l’espace déjà urbanisé, comme par exemple :

  • La rénovation des logements vacants ;
  • La restructuration d’îlots bâtis vétustes ;
  • La requalification des friches industrielles ou commerciales ;
  • La « densification douce » des quartiers peu denses par division parcellaire et la construction sur une parcelle déjà bâtie.

Chaque espace nouvellement artificialisé sera compensé par une surface au moins équivalente en termes de qualité à régénérer dans le même territoire urbanisé, de préférence dans les quartiers très, trop denses et où les espaces de natures sont trop rares. Il s’agit ici de surfaces déjà artificialisées à perméabiliser, à dépolluer, à fertiliser et à végétaliser. Une étude foncière détaillée pourra mettre en lumière ces potentiels qui devraient s’inscrire dans un projet global et transversal de densification, d’urbanisation ou de renaturation des terrains, préalable ou concomitant à la réalisation du PLU, PLUi, trame verte et bleue.

Origine de la proposition
Au nom d'un Comité Thématique
Villes et territoires durables
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