Constat : Pourquoi sommes-nous toujours si nombreux à attendre un véritable changement ? Face à la violente évidence de la crise sociale et à l’implacable menace de la crise écologique, pourquoi tant d’inertie, pourquoi tant d’ardeur à perpétuer un système archaïque, pourquoi tant de passion à continuer dans la voie des mêmes politiques néolibérales ? L’aspiration citoyenne de notre pays est immense, les initiatives ne cessent de se multiplier, les appels à un monde plus égalitaire et plus tempérant percent de toute part, chacun comprend que quelque chose ne fonctionne plus, que quelque chose doit réellement changer, enfin. Les citoyens doivent redevenir maîtres de leur destin et de leurs voix, confisquées aujourd’hui par une minorité.
Les citoyens ne sont pas une masse soumise aux « experts » mais ont les compétences pour participer aux décisions qui les concernent.
La santé et la protection n’est pas qu’une affaire de techniciens, c’est de nos vies dont il s’agit. Parce que les patients ont une expertise unique d’usagers du système de santé et de protection sociale, ils doivent participer à toutes les instances de concertation dans tous les secteurs d’activité. Tous les moyens de la démocratie formelle doivent permettre à chacun de contribuer au fonctionnement d’un système plus juste, plus innovant, plus transparent, ouvert aux initiatives citoyennes.
L’impératif moral et éthique permettra de remettre l’humain au cœur de nos préoccupations dans tous les domaines, en particulier la protection complète de nos vies privées, c’est-à-dire aussi de la santé et de nos données personnelles.
La protection sociale et le soin ne se limite ni à un acte administratif ni à un acte technique et l’intelligence artificielle, en particulier, ne doit pas déshumaniser la relation. Le respect de la différence et de la singularité de la personne sont au cœur de notre projet de société afin de mieux prendre en compte les questions inhérentes au respect de la différence, en particulier celle engendrée par la marginalité, la précarité et la pauvreté. Il y a un besoin de sensibilisation à cette réalité vécue et une nécessité de faire émerger de nouvelles formes de solidarité sociale (intergénérationnelle notamment) afin que le progrès attendu de ces transformations puisse être réellement bénéfique pour tous.
Le respect de la personne malade, ou plus largement vulnérable, est donc un enjeu majeur, ce qui oblige à adopter une réelle vigilance, par exemple, par rapport au pouvoir des grandes firmes telles que les assurances, l’industrie pharmaceutique, les banques ou les puissances du numérique.
Propositions :
- Conseils citoyens de protection sociale dans les hôpitaux publics, la Sécurité sociale, etc.
- Référendum sur les grandes orientations de la protection sociale
- Rendre public les évaluations des établissements sanitaires et sociaux
Les citoyens ne sont pas une masse soumise aux « experts » mais ont les compétences pour participer aux décisions qui les concernent.
La santé et la protection n’est pas qu’une affaire de techniciens, c’est de nos vies dont il s’agit. Parce que les patients ont une expertise unique d’usagers du système de santé et de protection sociale, ils doivent participer à toutes les instances de concertation dans tous les secteurs d’activité. Tous les moyens de la démocratie formelle doivent permettre à chacun de contribuer au fonctionnement d’un système plus juste, plus innovant, plus transparent, ouvert aux initiatives citoyennes.
L’impératif moral et éthique permettra de remettre l’humain au cœur de nos préoccupations dans tous les domaines, en particulier la protection complète de nos vies privées, c’est-à-dire aussi de la santé et de nos données personnelles.
La protection sociale et le soin ne se limite ni à un acte administratif ni à un acte technique et l’intelligence artificielle, en particulier, ne doit pas déshumaniser la relation. Le respect de la différence et de la singularité de la personne sont au cœur de notre projet de société afin de mieux prendre en compte les questions inhérentes au respect de la différence, en particulier celle engendrée par la marginalité, la précarité et la pauvreté. Il y a un besoin de sensibilisation à cette réalité vécue et une nécessité de faire émerger de nouvelles formes de solidarité sociale (intergénérationnelle notamment) afin que le progrès attendu de ces transformations puisse être réellement bénéfique pour tous.
Le respect de la personne malade, ou plus largement vulnérable, est donc un enjeu majeur, ce qui oblige à adopter une réelle vigilance, par exemple, par rapport au pouvoir des grandes firmes telles que les assurances, l’industrie pharmaceutique, les banques ou les puissances du numérique.
Propositions :
- Conseils citoyens de protection sociale dans les hôpitaux publics, la Sécurité sociale, etc.
- Référendum sur les grandes orientations de la protection sociale
- Rendre public les évaluations des établissements sanitaires et sociaux