Le capitalisme a comme principe de chercher à dégager du profit sur toutes les sphères de la société y compris ce qui doit relever de ce qui est indispensable pour la survie des espèces et notamment des êtres humains. Ainsi les grandes multinationales ont largement capté le marché de l’eau, ressource sans laquelle aucune vie n’est possible. Elles cherchent maintenant à faire breveter le vivant comme elles l’ont fait pour les semences.
Une société postcroissance doit reposer sur le principe de refuser toute logique de profit sur les biens communs.
Il en est ainsi de l’ensemble des grands réseaux, qu’il s’agisse de l’eau, de l’énergie, des infrastructures de déplacement (gares, aéroports, ports, routes, autoroutes, fleuves et rivières, etc.).
De même la brevabilité du vivant ne saurait être acceptée et ne doit en aucun cas pouvoir servir à une logique de profit.
Une société postcroissance doit reposer sur le principe de refuser toute logique de profit sur les biens communs.
Il en est ainsi de l’ensemble des grands réseaux, qu’il s’agisse de l’eau, de l’énergie, des infrastructures de déplacement (gares, aéroports, ports, routes, autoroutes, fleuves et rivières, etc.).
De même la brevabilité du vivant ne saurait être acceptée et ne doit en aucun cas pouvoir servir à une logique de profit.